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Pourquoi nous existons ?

Né d'un constat

Un problème,
une question ?

Le travail est un formidable outil d'intégration, de même que la scolarisation, l'apprentissage et la formation. La politique d'accueil faillit à son devoir lorsqu'elle empêche les exilé.e.s de travailler.

 

Empêcher une personne de travailler c'est bafouer un droit humain fondamental.

L'association apporte son soutien pour faire en sorte que d'autres chef.fe.s d'entreprise et leurs employé.e.s ne se trouvent plus confrontés à cette situation.

La France est en manque de main d’œuvre dans des secteurs dits en tension comme l'artisanat (1er employeur français), la restauration par exemple...mais pas seulement et de nombreux secteurs d'activité emploie des personnes étrangères compétentes.

À l'heure actuelle, le droit empêche la régularisation simplifiée de ces situations où employeurs et employés sont solidaires l'un de l'autre.

L'accès au travail déclaré garantie dignité et sérénité aux employeur.e.s comme aux employé.e.s.

Patricia Hyvernat

Paysanne-boulangère à la Chapelle (69) / Présidente de l'association

Gréviste de la faim pendant 14 jours (février 2021)

C'est dangereux d’aider les enfants puis de les mettre à la porte à leur majorité. Ils ont tout à apporter à la France.

Ils sont courageux, dévoués, prêts à tout donner.

Il faut juste leur faire confiance, et arrêter d'imaginer qu'ils sont là pour profiter.

& une grève de la faim pour Yaya

Patricia Hyvernat entame une grève de la faim en Février 2021 pour sauver de l'expulsion Yaya, apprenti boulanger dans son entreprise.

Après 14 jours sans manger, ils obtiennent la régularisation du jeune.

Depuis, Yaya a créé son collectif Activiste Collectif jeunes migrants de l’Ain,

a pu passer son permis et a intégré l'Académie des Leaders,

école pour former les citoyen.ne.s engagé.e.s de demain.

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Crédit photo : Nathalie Bardou

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Les indésirables ce sont ces jeunes exilé.e.s mais aussi tou.te.s ces petit.e.s patron.ne.s qui sont en manque de main d’œuvre qualifiées, de savoir-faire et qui pourraient les recruter.

Nos antennes régionales

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Pour un meilleur accompagnement local auprès des professionnel.le.s et des apprenti.e.s et pour répondre aux nombreuses sollicitations, nous avons décidé d'implanter notre association à Nantes (Loire-Atlantique),  Lille (Haut-de-France), dans le Finistère et en PACA.

Merci aux bénévoles pour leur temps et le travail remarquable qu'ils font au quotidien!

Interview de Margot Wolf, représentante des antennes régionales de l'association.

Stéphane Ravacley
 

Boulanger à Besançon (25) / Co-fondateur de l'association

Gréviste de la faim pendant 14 jours (février 2021)

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"On a de jeunes migrants qui ont faim de travailler,

qui ont faim de vivre et on ne nous permet pas

de les accepter jusqu’à la fin. On nous demande

de les prendre, puisque l’on nous demande de faire

des apprentissages, et on nous les retire après.

C’est anormal"

L'histoire raconte

que l'association s'est créée pendant la grève de la faim de Stéphane Ravacley, boulanger à Besançon, qui protestait à l'époque contre l'expulsion de l'apprenti boulanger, Laye Fodé Traoré. Pour rappel :

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En plus des sollicitations médiatiques, le boulanger reçoit une multitudes de messages provenant de patron.ne.s comme lui, "les petites entreprises, les artisans qui se battent au quotidien, par passion de leur métier". Accompagné de son équipe, ils lancent la plateforme Patron.ne.s Solidaires sur Facebook pour rendre visible ce monde du patronat encore inconnu du grand public. La vidéo fera plus de 30 000 vues en 48H.

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